Amis des voyages à travers le temps,
Grimpons dans notre fabuleuse machine...
Saperlipopette !
Encore coincée en 1914 ?!!
On ne sait pourquoi en ce moment elle bloque sur cette année ci,
Bah restons-y et allons faire un tour...
Pour vous parlez d'un combat titanesque !!!
Les querelles poétiques et musicales n'attendirent pas ces génies de la création artistique que sont Booba et Rohff,
Revenons sur le méga clash entre Debussy et Ravel.
En 1913 parurent les ouvres complètes de Stéphane Mallarmé,
Pour des raisons de santé publique, le tableau d’Édouard Manet a été quelque peu retouché – à peine -,
à l'origine on voyait le poète un cigare à la main mon cousin,
ce qui n'est pas très bisous compatibles pour un public mineur en 2014 !
Ayant déjà adapté Prélude à l'Après-midi d'un Faune, Claude Debussy pensait avoir les droits sur de nouveaux poèmes,
Las ! Ceux-ci venaient juste d'être cédés à Maurice Ravel !
La brouille entre les musicos était consommée, au grand amusement de Stravinsky qui comptait les points, à défaut de touiteur, par entourages et coteries respectifs.
Si nos deux compositeurs choisirent également,
En numéro trois, Ravel qui fit jouer ces pièces le 14 janvier 1914, choisit
Musique de réclame pour shampoing !
Faut pas me montrer des vidéo comme ça..
J'suis obligé d'partager
Ahahah des barres !
Quant à lui Debussy choisit Éventail
Qu'il produit le 21 mars de la même année,
Lave-toi la bouche avec
pour masquer l'odeur
de mon piano à queue !
En fait,
Les trois poèmes de Mallarmé sont comme les mousquetaires,
Il y en a quatre !